Kèlè Kèlè

Kèlè Kèlè (“piment” en vieux dioula), reprend le flambeau de l’Afrobeat allumé par Fela dans les années 60 pour mieux propager son cocktail funky explosif à la sauce africaine…
Kèlè Kèlè, c’est d’abord le chant tribal de Kiko, musicien baroudeur, passionné par l’Afrique, qui dénonce dans ses textes (en anglais et en dioula) les dérives de l’être humain et du système…
Kèlè Kèlè, c’est aussi et surtout une musique enivrante, mix d’Afrique et d’Occident, faite de rythmes syncopés et de lignes de basses massives, agrémentée par des cuivres mélodiques, des guitares funky et des percussions puissantes, parfois épicée par des choeurs endiablés…
Kèlè Kèlè, c’est un groove frénétique et hypnotique, dont les rythmes lancinants font bouger les jambes, tortiller les fesses et décrocher les cerveaux…